Plan de financement sur demande
Projet BILOCExpériences vécuesExperienceurContact
Projet BILOCExpériences vécuesExperienceurContact
  AUTRES ACTIVITÉS
PHOTOGLOBE
TREKKADY
NATURES MORTES
  AUTRES ACTIVITÉS
PHOTOGLOBE
TREKKADY
NATURES MORTES

PROJET BILOC (projet de recherche sur la conscience délocalisée et autres phénomènes associés)




Introduction : 


Je n’avais que 8 ans lorsque je découvrais que la vie, ma vie en l’occurrence, ne tenait qu’à un fil (ce qu'une expédition en 
Alaska ne manqua pas de me rappeler bien des années plus tard) et qu’il s’en était fallu de peu pour que ce fil si 
ténu ne cèda.  
Avant d’en dire plus, je tiens à préciser que je ne me sens lié à aucune idéologie, philosophie, religion, secte ou courant de 
pensée. Je suis simplement en quêtes de réponses depuis cette expérience qui défie la raison (mais pas l’intuition). 
 
Cette nuit-là je rêve d'un Indien à peine plus âgé que moi qui me capture et me ligote à un poteau. Une fois cela fait, il 
recule de quelques mètres, bande son arc et décoche sa flèche dans un silence absolu. Il n’y a que lui et moi pour ce 
face-à-face mortuaire, personne pour me venir en aide et pas même la force d’appeler au- secours. Comme par magie, la 
flèche ralentie progressivement sa course à mon approche jusqu’à presque s’arrêter à tel point que le temps semble lui 
aussi se figer, puis centimètres par centimètres elle transperce chaque fibre de ma peau, jusqu’à atteindre mon cœur. Ainsi 
s’achève mon rêve, car au même instant je ressens une très vive douleur, non plus dans mon rêve mais bel et bien dans ma 
cage thoracique, allongé dans mon lit.  
Suis-je sujet à un infarctus ou bien à un étouffement durant mon sommeil ? Quelle qu’en soit la cause à ce moment précis, 
ce que j’appelle ma conscience que d’autres nommeront esprit ou âme quitte mon corps. « Je » me vois allongé sur mon lit 
et me croît définitivement mort, sûre d’au moins une chose ; je ne suis pas en train de rêver, car rien ne ressemble moins à 
un rêve qu’une EMI. Puis je me surprends à planer à hauteur du plafond, là encore sans savoir comment mais le plus 
naturellement du monde, tout en étant parfaitement conscient que quelque chose ne 
tourne pas rond car je suis bel et bien séparé de mon corps toujours aussi inerte, mais enfin libéré de cette terrible douleur.  
Sans pouvoir lutter, ni même curieusement sans chercher à le faire, je traverse la toiture, attiré ou peut-être mêmecapturé 
par ce que la plupart des experienceurs décrivent comme un tunnel ou un vortex de lumière. Les événements se déroulent 
et s’enchaînent sans que je n’aie d’emprise dessus.  
 
Mon voyage extraordinaire commence tandis que je perds toute notion d’espace et de temps, bercé par cet environnement 
totalement inconnu et pourtant tellement réconfortant. A aucun moment je ne tente de faire demi-tour (le pourrais-je ?) ni 
ne me sent inquiété. Cette lumière me transporte tout autant qu’elle me guide, me protège et plus encore, m’éclaire au 
sens propre comme au sens figuré. Mieux que Wikipédia, plus rapide et puissante que la 5G, me voilà connecté à l’immense 
encyclopédie du savoir absolu dans un flux continu. Les GAFA, NATU et autres équivalents chinois BATX n’ont qu’à bien se 
tenir. Me voilà omniscient ! Tout devient évident et logique, chaque question trouve sa réponse et la boucle est bouclée. 
Après un temps indéfini dans un espace qui semble l’être tout autant, je parviens riches de chacun de ces instants 
suspendus jusqu'à ce qui semble être la fin de mon voyage. Je me tiens debout bien qu’en lévitation et devine au loin une 
silhouette qui s’approche. Mon Grand-Père, pourtant décédé l'année dernière, m'accueille et me réconforte sans que nous 
n’échangions un mot, puis autrement que par la parole me somme aussi vite de rentrer pour poursuivre (pour commencer ?) 
ma vie et témoigner.  
Mon expérience s’arrête net et je ne garde aucun souvenir du retour. C’était il y a 38 ans et bien que je sois connu de mes 
proches pour avoir une mémoire très défaillante (que je qualifie plus volontiers d’hyper-sélective...), ces souvenirs sont 
restés intacts et continuent de rayonner dès que je les convoque. 
 
Le lendemain à mon réveil, persisteront une vague douleur dans la poitrine, mais surtout la conviction intime et profonde de 
n’avoir pas rêver cette expérience qui m’aura permis d’accéder à l’ensemble des connaissances, tout en m’affranchissant 
des contraintes physiques inhérentes à notre réalité, capable de me déplacer aussi vite que la pensée, d’avoir une vision à 
360°, de « voir » et de ressentir les couleurs et les vibrations et de traverser la matière. Mais de tout cela il ne restera rien, 
si ce n’est une immense frustration qui me poussera quelques années plus tard à récidiver au travers d’autres expériences 
de conscience modifiées très proches de l’EMI. 
 
Pour l'obtention d'un certificat médical, notre médecin de famille me diagnostiquera un souffle au cœur qui n'avait pas été 
détecté avant cette expérience. Je ne commencerais à en parler à ma famille et à quelques amis qu’une dizaine d’années 
plus tard, après avoir mené mon enquête pour tenter de comprendre. 
À cette époque, le sujet était peu connu du grand public et peu de témoignages existaient en dehors du livre du Dr. 
Raymond Moody "La vie après la vie" paru en 1975, mais aujourd’hui il suffit de rentrer dans n’importe quelle librairie pour 
tomber sur des témoignages de ce type provenant de parfaits inconnus et même de personnalités et de scientifiques 
(comme le Neurochirurgie Eben Alexander, dont le sérieux ne saurait être remis en question), la parole s’étant 
progressivement libérée.  
Ceux qui parmi ces scientifiques osent parler de leurs expériences, en payent souvent le prix fort face à une pensés 
dominante très arcboutée sur ses certitudes, qui ne voit là rien que la science ne sache expliquer (hallucination, crise 
d’épilepsie, paralysie du sommeil, phénomènes auto scopiques, troubles psychologiques, etc.).
 
Après une telle expérience, tout doit avoir du sens car la vie est précieuse et l’incarnation doit être totale, d’où la difficulté 
de s’adapter dans un environnement trop souvent dénué de sens (métro-boulot-dodo). La difficulté d’adhérer à un système 
trop éloigné de ces valeurs qui se révèlent et qui finissent par s’imposer. 
S’adapter oui, mais pas à n’importe quoi et à n’importe quel prix. 
 
Raison pour laquelle j’aimerais pouvoir me consacrer au moins en partie à mon Projet BILOC - projet de recherche sur la 
conscience délocalisée et autres phénomènes associés. Mais faute de mécène et d’un budget bien trop lourd pour un 
auto-financement le projet est au point mort, mais si parmi vous s’en trouvait ne serait-ce qu’un(e) prêt(e)s à me soutenir, 
ma ligne vous est ouverte 24h/24 !  
 


I- Projet de recherche

En introduction, le Projet BILOC est un projet individuel de recherche et d'expérimentation sur la conscience délocalisée et 
plus spécifiquement sur l'état de bilocation, qui ambitionne un véritable changement de paradigme en quête de sens (et de 
conscience). L'un de ces principaux objectifs concistera à démontrer que la conscience n'est pas un sous-produit du 
cerveau, mais qu'elle est non locale. Pour cela et en contradiction avec la Science mainstream dont les fondements se 
trouvent de plus en plus fragilisés, je prendrais appui sur mes propres expériences et expérimentations.

Avant de quitter la terre ferme, quelques explications sommaires s'imposent. Il est question de cet état de conscience 
modifié qu'on appelle aussi décorporation, voyage astral, dissociation, BILOCATION, ubiquité, Expérience Hors du Corps 
(EHC ou OBE) expérimenté en tous temps et en tous lieux, toutes croyances et non-croyances confondues. Des 
décorporations que j'expérimente depuis mon adolescence, quelques années après un disfonctionnement cardiaque qui 
s'est traduit par une Expérience de Mort Imminente (EMI ou NDE) vécue à l'âge de 8 ans. 

Ces phénomènes, trop longtemps boudés, ignorés ou raillés par la communauté scientifique mainstream, sont aujourd'hui 
de plus en plus pris au sérieux et étudiés sur tous les continents face aux nombres de cas croissants et à leurs similarités 
(croyants et non-croyants confondus), les progrès en matière de réanimation ayant presque banalisé cette expérience 
consistant à revenir à la vie quelques minutes après une mort clinique pourtant déclarée.  
La plus grande partie de ces recherches proposent surtout une compréhension des mécanismes psychologiques et 
neurologiques en jeu, qui n'expliquent en rien le fait que bon nombre d'experienceurs qui ont vécu une EMI pouvaient se 
voir "mort" tout en observant le corps médical s'affairer autour d'eux, pas plus que l'interaction possible avec 
l'environnement réel en état de bilocation que j'ai aussi pu expérimenter bien des années plus tard.  
Pour ne parler que des EMI, comment expliquer que l’on puisse garder en mémoire une fois le cœur reparti, un événement, 
un geste chirurgical, des paroles prononcées durant et même avant une réanimation, mais plus incroyable encore, des 
conversations ou des comportements de nos proches se trouvant pourtant dans la salle d’attente séparée de plusieurs 
murs ? Cela bien que nous n’ayons tout simplement pas pu les entendre et encore moins les voir de là (et dans l’état) où 
nous nous trouvions, c’est-à-dire en état de mort clinique ? D’ailleurs mort ou pas, comment voir les yeux fermés ? 
Comment expliquer ces milliers de cas sans postuler que notre conscience puisse se dissocier de notre corps, ou encore 
comme le pense le docteur Jean-Jacques Charbonier, spécialiste de la question depuis plus de 25 ans qui a étudié des 
milliers cas, que le cerveau ne serait que le récepteur de la conscience, à l’image d’un poste de radio ou de télévision ? 
J’utilise volontairement le mot « conscience » que d’autres qualifient d’esprit ou d’âme car encore une fois, je ne suis pas 
croyant et bien qu’ayant vécu cette expérience puis plus tard d’autres très proches et à de multiples reprises (de type 
décorporations et même bilocations), je reste sans réponse et rejette toute forme d’appartenance. 


Pour garantir mon intégrité et toutes ses  chances au projet d'aboutir, je souhaite mener à ce stade en toute indépendance 
(ou presque, sans quoi vous ne seriez pas en train de me lire) mes propres recherches et expérimentations.
Je n'ai pourtant pas l'intention de me soustraire à la méthode scientifique, mais je souhaite rassembler suffisamment de 
preuves avant de me prêter à des tests et il se trouve qu'à ce stade, l'environnement joue un rôle prépondérant dans 
l'aboutissement de ce projet qui se veut hors normes, face aux défis eux aussi hors normes qu'il va pourtant nous falloir 
relever, là où la conscience sera de mise.
J'ai donc besoin d'un lieu qui me mette en confiance et où je ne serve pas des intérêts que je ne maîtrise pas, déconnecté 
de toute pression extérieure. Car si d'autres ont échoué jusque-là dans ce type de recherches, c'est à mon sens justement 
parce que l'environnement est un des facteurs-clef, du fait qu'il est bien question d'une expérimentation menée sur 
l'humain, vecteur  d'émotions, de sensations et de vibrations. 
Environnement : une dépendance mitoyenne à mon habitation permettant l'aménagement d'un petit espace de recherche 
dédié de type "pièce d'isolation sensorielle et électromagnétique". Un espace qui sera équipé d'un portail de détection 
expérimental de champ de conscience, selon un procédé qui m'est propre. Ce portail aura pour fonction de capter des 
interactions avec le réel en état de Bilocation.


II- Objectifs : 

1- La preuve par la démonstration, car en chacun de nous sommeil un Saint Thomas qui ne croit que ce qu'il voit, hors la 
conscience semble être par définition invisible, jusqu'à preuve du contraire. 
En focalisant entre autres sur les différentes longueurs d'onde du spectre invisible à l'œil humain couplés à des appareils à 
détection automatiques (mouvement, chaleur, vibrations, ondes, etc.), je projette de capturer visuellement dans un même 
espace ma conscience dissociée d'un côté et mon corps physique de l'autre, tandis que je me trouverai plongé en état 
de bilocation sous EEG. Car au contraire de l'OBE plus facile à reproduire, l'état de bilocation tel que j'ai pu l'expérimenter 
peut permettre de d'interférer avec la matière (objet, personne…). 
Pour cela, je mettrai au point « un portail de détection de champ de conscience », véritable concentré de disciplines et de 
technologies cumulant différents moyens de contrôles et de détections (EEG, synchronisation des ondes cérébrales, caméra 
thermique, mesure et détection des champs électromagnétiques, etc). 

Grâce à ces démonstrations effectuées dans le cadre d'un protocole rigoureux, je propose de démontrer dans un même 
temps qu'OBE, NDE, bilocations et autres "apparitions" ne sont que des variantes d'un seul et même phénomène qu'est 
la conscience délocalisée et de fait, que la conscience n'est pas un sous-produit du cerveau

Cette hypothèse qui donne lieu à de plus en plus de recherches partout dans le monde trouve pour ma part 
essentiellement sa source dans les expériences décrites en IIIème partie, durant lesquelles j'ai pu rencontrer deux de ces 
consciences décorporées, l'une au travers de mon grand-père décédé tandis que j'expérimentais une NDE, l'autre au travers 
d'une trop jeune « âme errante » cherchant son chemin. Ajoutons à cela les nombreuses consciences décorporées (issues 
pour le coup volontairement ou pas de corps vivants, endormis et/ou en état de consciences modifiées) croisées durant mes 
nombreuses OBE et nous avons sans doute là différentes expressions d'un seul et même phénomène de conscience non 
locale (les premières étant issues de corps sans vie et les secondes de corps en vie). 

Une fois atteint ce 1er objectif et afin de démontrer qu'il ne s'agit pas de trucage, de phénomène autoscopique, de remote 
viewing, d'hallucination, d'infrasons, de psychokinèse, d'épilepsie, de paralysie  du sommeil et/ou de trouble psychologique 
quelconque, je me soumettrais (ainsi que mes résultats) à toute structure scientifique qui le souhaitera, afin de 
renouveler l'expérience en leur présence. 

Pourquoi prendre le risque de parler d’un sujet aussi tabou et clivant ? Parce que face à la multiplication des cas, on ne peut 
plus ignorer le phénomène. Et parce que bien que cela puisse sembler paradoxal pour ceux qui ne sont pas initiés et qui 
verraient plutôt là une bonne raison de préférer le suidice à une vie cabossée, je suis convaincu que dans cette expérience 
se trouvent aussi des clefs dont nous aurons collectivement besoin pour poursuivre encore longtemps cette extraordinaire 
aventure qu’est la vie. Il est temps d’en finir une bonne fois avec l’angoisse de la mort et donc l’incapacité de vivre 
pleinement, de crainte d’en racourcir la durée.  
Car une telle expérience permet de se réconcilier avec notre propre finitude, tout en intégrant que vivre consiste justement 
à faire ce qu’une NDE ne permet plus : expérimenter l’incarnation et donc profiter pleinement des cinq sens dont nous 
somme içi dotés. Et plus encore, de tenter d’aimer et d’être aimé en retour, cela pouvant prendre les formes les plus 
variées. Puis de transmettre en retour ce que la vie nous a enseigné, pour que tout cela ait du sens et ne soit pas vain. Et 
d’inscrire sa vie dans un projet pour l’humanité sur le long terme, qui soit pour chacun de nous comme un cap d’espérance 
pour les moments difficiles. 
 
Parmi tous les points communs aux personnes qui ont vécu une EMI, figure aussi en bonne place le fameux overview effect 
(très proche de celui expérimenté par certains astronautes), à savoir une conscience accrue de la vie qui parce qu’elle est 
fragile et éphémère, n’en est que plus précieuse. Tout autant que l’est notre vaisseau Terre, le seul dont nous disposions et 
qui pour cette excellente raison ne doit donc pas tomber en panne, le temps au moins comme évoqué précédemment, de 
nous trouver une résidence secondaire.  

Vous l'aurez compris, je recherche donc l'improbable en sollicitant votre aide pour relever ce défi.
Une chose est sûre : il n'est pas question de croyance, mais d'intuition, d'expérience, de confiance et d'audace. En espérant 
que les années qui viennent s'annoncent enfin sous le signe d'un changement de paradigme, pour que nos enfants ne 
nous reprochent pas l'inutilité de nos actions trop souvent égoïstes et superficielles.